Formée à l’Université Lumière Lyon 2 (lettres modernes) puis à l’Institut pratique de journalisme – Paris Dauphine, Chloë Cambreling travaille au début des années 2010 comme présentatrice et reporter à RFI et dans les différentes antennes du groupe Radio France (France Info, France Culture, France Inter, France Bleu.) Diplômée du conservatoire à rayonnement régional de Lyon, elle est alors en parallèle chroniqueuse pour l’émission Fabrication maison, sur France musique, et écrit pour l’Auditorium Orchestre national de Lyon où elle présentera également des concerts. Après un passage par la matinale de RMC, elle rejoint les émissions de France Culture où elle devient productrice adjointe de l’émission Le Temps du débat et productrice des Matins d’été (2020 et 2021), des Matins du samedi (2020-21), et « joker » pour Les Matins et La Grande Table (2021-22). Depuis l’automne 2022, Chloë Cambreling est conseillère à la programmation pour les conférences et rencontres à la Philharmonie de Paris, où elle anime également certains événements. Elle a présenté en 2022-2023 le séminaire Picasso aujourd’hui (organisé par le Musée Picasso pour les cinquante ans de la mort du peintre et diffusé sur France Culture) et travaille par ailleurs notamment pour La Criée-théâtre national de Marseille, le festival Oh les beaux jours ! et Les nouvelles rencontres d’Averroès.

Alexandra Laederich est docteur en musicologie déléguée générale du Centre international Nadia et Lili Boulanger. Elle a publié sur la musique française du XX^e siècle et a édité l’ouvrage Nadia Boulanger et Lili Boulanger, témoignages et études (Symétrie, 2007). Conservatrice du Centre de documentation Claude Debussy, elle a dirigé, avec Myriam Chimènes, Regards sur Debussy (Fayard, 2013). Elle est l’auteur du Catalogue de l’œuvre de Jacques Ibert (Olms, 1998).

Pianiste lituanien, Gustas Raudonius est diplômé de la Vilnius Academy of Arts, en piano et en composition. Il est également diplômé de la Robert Schumann Hochschuhle de Düsseldorf, ville où il réside actuellement.

Comme jeune soliste, il a participé à la tournée de l’European Union of Music Competitions for Youth ainsi qu’aux cycles de concerts Complete Études-Tableaux by Sergei Rachmaninov et Complete Préludes by Claude Debussy, en Lituanie et en Pologne.

Se spécialisant progressivement dans le répertoire de la mélodie et du lied, Gustas a enregistré un album de mélodies françaises avec le ténor lituanien Ilya Aksionov, donnant ensuite avec lui des récitals thématiques autour des poèmes d’Eduard Mörike, ou, avec la mezzo-soprano lituanienne Saulė Šerytė, autour de Reynaldo Hahn.

Gustas est également coach pour chanteurs.

Tomas Kildišius, baryton lituanien, est diplômé la Lithuanian Academy of Music and Theater de Vilnius et de la Robert Schumann Hochschuhle de Düsseldorf.

Passionné par le répertoire du lied et de la mélodie, il accorde une attention particulière à l’articulation et à la clarté du texte. La presse salue d’ailleurs sa prononciation impeccable.

À l’opéra, Tomas a tenu le rôle-titre de l’œuvre d’Andreas Tarkmann, Der Räuber Hotzenplotz donné au théâtre de Krefeld-Mönchengladbach, en Allemagne. Au Deutsche Oper am Rhein de Düsseldorf, il a participé aux productions de Don Carlos de Verdi et de Salomé de Richard Strauss.

Son répertoire d’oratorios comprend des œuvres telles que Ein deutsches Requiem de Brahms, la Passion selon saint Matthieu de Bach et le Messie de Haendel.

Des créations d’œuvres contemporaines lui sont confiées, Königskind de Dmitrii Shchukin ou Mein Gebet de Robert Holl – cette dernière œuvre donnée à l’International Lied Festival de Zeist (Pays-Bas). Dans le cadre de ce festival, Tomas a remporté le concours Young Artists’ Platform avec la pianiste arménienne Ani Ter-Martirosyan avec laquelle il a réalisé son premier enregistrement consacré à Die schöne Magelone de Brahms (Genuin Classics, Leipzig).

Paru en septembre 2020, son deuxième disque récital « Bizet sans Paroles » (Mirare) est encensé par la critique et se voit récompensé d’un Diapason d’or alors que le Monde y voit « la confirmation d’un magnifique musicien » et « une indéniable réussite ». Le premier album de Nathanaël Gouin, Liszt Macabre, paru en 2017 avait déjà suscité des réactions enthousiastes des critiques. Incontestablement, Nathanaël Gouin figure comme l’une des voix les plus originales ayant émergé sur la scène musicale de ces dernières années.

Nathanaël Gouin est devenu un soliste recherché, se produisant en Europe, Asie, ou encore aux États-Unis. Il est invité dans des salles prestigieuses telles que la grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique à Paris, Bozar et la Salle Flagey à Bruxelles, sans oublier des festivals tels que ceux de La Roque d’Anthéron, de Radio France Montpellier, ou encore Les Folles Journées de Nantes Tokyo Varsovie ou Ekaterinbourg, ainsi que la Salle Bourgie de Montréal.

Dans le domaine du concerto, Nathanaël Gouin cultive un répertoire large et curieux, ce qui lui vaut des collaborations stimulantes avec de nombreuses formations : le Philharmonique de Liège, l’ensemble Les Siècles, le New Japan Philharmonic, l’Orchestre National d’Île-de-France, le Brussels Philharmonic…

Depuis son succès au Concours Van Cliburn dans les années quatre-vingt, Philippe Bianconi mène une carrière internationale et poursuit son itinéraire musical, creusant patiemment son sillon loin de tout tapage médiatique.

Son premier grand récital au Carnegie Hall de New York en 1987 a été très acclamé. Dès lors, il s’est produit dans les salles les plus réputées, tant en Amérique (Orchestra Hall de Chicago, Kennedy Center à Washington, Philadelphie, Boston, San Francisco, Houston…) qu’en Europe (Wigmore Hall à Londres, Philharmonie de Berlin, Konzerthaus de Vienne, Milan, Madrid, Hamburg…), ainsi qu’au Japon, en Chine et en Australie.

Philippe Bianconi a aussi été l’invité d’orchestres prestigieux : Cleveland Orchestra, Chicago Symphony, Los Angeles Philharmonic, Pittsburgh Symphony, Baltimore Symphony, Orchestre Symphonique de Montréal, Orchestre de Paris, Orchestre National de France… et de nombreux festivals : le Festival de Prades, la Folle Journée de Nantes, le Festival de Menton, le Festival Messiaen de la Meije, le Festival Berlioz et le Festival de Ravinia aux Etats-Unis.

Félicien Brut est devenu, en quelques années, le représentant de l’accordéon dans la nouvelle génération de musiciens classiques français, défendant ardemment le caractère polymorphe de son instrument et suscitant la création d’un nouveau répertoire lui étant dédié en musique de chambre et avec orchestre.

Félicien joue sur un Bayan Gadji conçu, accordé et entretenu par Stéphanie Simon.

Plus d’informations ici :
www.felicienbrut.com

Contrebasse solo à l’Orchestre Philharmonique de Radio France, après être rentré à 19 ans à l’orchestre de Lille, Edouard Macarez commence la contrebasse à l’âge de 10 ans. Il est lauréat de plusieurs concours nationaux et internationaux et se produit sur les scènes internationales.

Plus d’informations ici :
www.francemusique.fr

Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international K. Penderecki, Astrig Siranossian se produit en soliste avec de grands orchestres. Invitée régulièrement par Daniel Barenboim, ses partenaires sur scène ne sont pas moins que Simon Rattle, Martha Argerich, Yo-Yo Ma, Kirill Gernstein, Elena Bashkirova, Emmanuel Pahud..

Régulièrement invitée sur les chaînes de télévision (TF1, France 2, France 5, CultureBox TV, BR Kultur..), ses enregistrements sont salués unanimement par la presse.

En mai 2022, Astrig fait ses débuts au Gewandhaus de Leipzig avec le Concerto n°2 en Mi mineur de Popper. En octobre 2022 sort son album Duo-Solo, rencontre entre mélodies et danses populaires et répertoire savant faisant dialoguer le violoncelle et la voix.